L'Apôtre de Cheyenne Carron avec Fayçal Safi et Brahim Tefka.
Tout d'abord en avant propos, je ne suis pas croyant et complètement athé, donc mon point de vue est uniquement cinématographique.
Car ce film sur la religion est un film sur la foi, celle des musulmans et celle des chrétiens, le but de la réalisatrice, même si ont peut penser que ce film est plutôt de tendance catholique, est de montrer qu'on peut vivre ensemble, si on veut peut s'en donner la peine.
Ce film a été bizarrement refusé par la commission du CNC, et la réalisatrice à écrit au patron des 40 sociétés du CAC 40 pour financer son film, un a accepté , puis interdit dans certaines salles et par la DGSI pour des projections dans certaines écoles.
Franchement il y a pas de quoi fouetter un chat, la réalisatrice est parti d'un fait divers sur un prêtre catholique du village ou habitait Cheyenne Carron à ses 19 ans. Celui-ci a perdu sa soeur, étranglée par le fils de ses voisins, des musulmans d'origines marocaine. Malgré cela, le prêtre a souhaité rester vivre auprès d'eux car sa présence les aidait à vivre. Cette histoire a inspiré le début du film, dans lequel l'acte de charité du prêtre est à la base du processus de conversion du héros, Akim.
C'est ce double sujet que narre la réalisatrice, s'en prendre vraiment parti, car fait assez rare c'est le musulman qui change de cap, et pas le contraire, à qui le film peut faire du mal, là je vois pas, bien sûr on voit la vie au quotidien de ces gens et c'est pas évident, mais elle finit par une bouffée d'optimisme, chacun restant de son camp, sans se rejeter, avec une conclusion avant tout la famille avant la religion.
Le jeune acteur Faycal Safi qui joue Akim est nommé ce soir dans la catégorie Espoirs aux Césars 2015.
"Akim est un jeune musulman qui se dessine, avec son frère YOussef à devenir Iman. Tandis que la soeur d'un prêtre catholique de son quartier est assassinée par un voisin, ce prêtre décide de continuer à vivre auprès de la famille de l'assassin, car il sent que cela les aide à vivre. Interpellé par cet acte de charité, Akim s'engage dans un chemin de conversion au christianisme qui va l'opposer à son frère et à l'ensemble de sa communauté. Le film met en évidence les liens familiaux très forts de cette famille qui veut malgré tout conserver des liens avec lui."
Note : 12.70
DISTRIBUTION
FAYCAL SAFI / AKIM
BRAHIM TEFKA / YOUSSEF
SARAH ZAHER / HAFSA
SALAH SASSI / ABDELLAH
NORAH KRIEF / MAYA
YANNICK GUERIN / PERE FAURE
Tout d'abord en avant propos, je ne suis pas croyant et complètement athé, donc mon point de vue est uniquement cinématographique.
Car ce film sur la religion est un film sur la foi, celle des musulmans et celle des chrétiens, le but de la réalisatrice, même si ont peut penser que ce film est plutôt de tendance catholique, est de montrer qu'on peut vivre ensemble, si on veut peut s'en donner la peine.
Ce film a été bizarrement refusé par la commission du CNC, et la réalisatrice à écrit au patron des 40 sociétés du CAC 40 pour financer son film, un a accepté , puis interdit dans certaines salles et par la DGSI pour des projections dans certaines écoles.
Franchement il y a pas de quoi fouetter un chat, la réalisatrice est parti d'un fait divers sur un prêtre catholique du village ou habitait Cheyenne Carron à ses 19 ans. Celui-ci a perdu sa soeur, étranglée par le fils de ses voisins, des musulmans d'origines marocaine. Malgré cela, le prêtre a souhaité rester vivre auprès d'eux car sa présence les aidait à vivre. Cette histoire a inspiré le début du film, dans lequel l'acte de charité du prêtre est à la base du processus de conversion du héros, Akim.
C'est ce double sujet que narre la réalisatrice, s'en prendre vraiment parti, car fait assez rare c'est le musulman qui change de cap, et pas le contraire, à qui le film peut faire du mal, là je vois pas, bien sûr on voit la vie au quotidien de ces gens et c'est pas évident, mais elle finit par une bouffée d'optimisme, chacun restant de son camp, sans se rejeter, avec une conclusion avant tout la famille avant la religion.
Le jeune acteur Faycal Safi qui joue Akim est nommé ce soir dans la catégorie Espoirs aux Césars 2015.
"Akim est un jeune musulman qui se dessine, avec son frère YOussef à devenir Iman. Tandis que la soeur d'un prêtre catholique de son quartier est assassinée par un voisin, ce prêtre décide de continuer à vivre auprès de la famille de l'assassin, car il sent que cela les aide à vivre. Interpellé par cet acte de charité, Akim s'engage dans un chemin de conversion au christianisme qui va l'opposer à son frère et à l'ensemble de sa communauté. Le film met en évidence les liens familiaux très forts de cette famille qui veut malgré tout conserver des liens avec lui."
Note : 12.70
DISTRIBUTION
FAYCAL SAFI / AKIM
BRAHIM TEFKA / YOUSSEF
SARAH ZAHER / HAFSA
SALAH SASSI / ABDELLAH
NORAH KRIEF / MAYA
YANNICK GUERIN / PERE FAURE
La dernière image du film plein de bon sens |
source : http://slideshare.net, http://merdeka.com, http://cinephagemaniac.blogspot.com
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